Collection Soumise. Fille De… (11/16)

Je suis revenu de Strasbourg, je sors du bureau de monsieur Paul, père de Mariane que j’ai amené à devenir aussi dévergondée que moi.
De retour chez moi, j’allume la télé et m’allonge sur mon lit, à oui, ma salle à manger est magnifique.
À la télé, je vais sur une chaîne d’info, à la tribune, les chefs de groupes succèdent, les uns aux autres.
Je vais m’endormir légèrement fatiguer et surtout par ces discours qui n’en finissent pas, quand je vois les papiers que ma pseudo grand-mère m’a donné avant mon départ.
Ce sont des coupures de presse du temps ou mère semblait avoir eu des rapports avec un autre homme que celui que je prends pour mon géniteur et qui pourrait être mon père.

« Voyage en Russie pour un groupe de parlementaires, parmi eux, des fonctionnaires des Affaires étrangères qui travaillent pour le rapprochement entre nos deux pays. »

Sur la photo, il me semble reconnaître monsieur Joseph, monsieur Paul qui vient de me baiser, un homme qui ressemble étrangement à l’homme qui vient de prendre la tête du pays, sur la photo, il semble s’appeler monsieur Louis, comme nos rois.
Joseph, s’il sait qu’il est mon père, aurait refusé que sa fille fasse ce que je fais, pour leur avenir et surtout les fellations qu’il me demande de lui faire.
Monsieur Paul, depuis qu’hier, ils m’ont jeté dans ses bras le met aussi hors de toute possibilité de l’être, reste un seul homme, monsieur Louis, je me vois mal aller voir mère, pour lui dire, père est-il bien mon père, ne suis-je pas la fille de… et même le premier homme de France.
Il va falloir que j’établisse un plan.

À la télé, le vote vient de se terminer, j’ai vu passer les hommes que j'ai servi mettre leur bulletin, pour ou contre la motion de sensure déposée par le groupe minoritaire à ce jour.
Le commentateur de la chaîne est persuadé que la motion de censure sera rejetée, je vois monter Pierre, Joseph, Paul.


Le président de l’assemblée prend la parole.

• Résultat du vote, suffrage exprimé 556, blanc ou nul 21, pour la motion de censure 279, contre 277, la motion de censure est adoptée, monsieur le Premier ministre, le gouvernement est renversé.

C’est fait, dans les heures suivantes, l’analyse du vote fait apparaître que j’ai réussi à faire pencher la balance, le président reçoit son ancien Premier ministre, qui démissionne.
Je suis suspendu à la télé quand pour faire court, le commentateur annonce que mère vient d’être reçue dans le bureau du patron, rapidement mère ayant certainement rejoint celui qui serait mon père remercie devant les caméras la confiance qu’on lui fait et va préparer son gouvernement.

Peu importe qui sont les bénéficiaires des portefeuilles, la seule chose qui m’interpelle c’est jusqu’à ou mère est complice de mes amants quand j’entends le nom de monsieur Paul, ministre de l'Intérieur, confirmant par sa nomination la trahison qu’il avait faite.
C’est à ce moment que je prends conscience du pouvoir de certaines personnes dans notre pays, je suis parmi les quelques personnes qui sauront qu’il a protégé sa fille de mon chantage à son image sur les réseaux sociaux.
Pour le commun des mortels, monsieur Paul a retourné sa veste pour un poste ministériel à l’aube de sa vie parlementaire.
Mère sait-elle ce que j’ai fait pour qu’elle aussi ait son heure de gloire, elle qui a pendant des heures fait l’interrogation des médias, deuxième femme en France nommée Premier ministre n’étant qu’une haute fonctionnaire bien qu’elle soit considérée comme l’une des personnes les plus compétentes dans notre pays.
Mère nomme aussi Pierre secrétaire d'État au sport, il est interrogé avec Marie sa femme, qui a une tête de déterrer à la caméra.

• Champagne Jessika, grâce à toi, je suis devenu ministre, j’en ai toujours rêvé.

C’est quelques heures plus tard qu’avec Pierre nous fêtons sa nomination, il boit du champagne entre mes seins, comme j’ai dit à monsieur Paul que sa fille s’était fait boire dans sa chatte par Antoine l’un de ses amants.


Le lendemain, un planton vient m’apporter un message.

« Madame, le ministre de l'Intérieur voudrait vous voir demain matin à 11 heures à son ministère. »

Je vais à l’assemblée faire acte de présence, monsieur Joseph se fait faire sa petite sucette, je finis par bien aimé, j’ai l’impression d’être une infirmière du sexe étant dans la mouvance de ces hommes pour être leur vide couille.
Moi ce que je vois c’est ma liberté sexuelle surtout lors de la réunion avec monsieur le ministre à qui je remets mon portable ayant tout nettoyé sauf les vidéos de sa fille étant, elle aussi la vide couille de deux hommes du moins au moment où j’ai filmé.

• Jessika, j’ai bien aimé notre moment où tu croyais me faire céder sur mon vote, j’ai vu toute ta détermination à me casser en t’en prenant à la prunelle de mes yeux, elle a disparu, du moins elle ne répond pas à mes appels, sais-tu ou elle est ?
• Non, je vais essayer d’avoir des renseignements, je connais quelqu’un qui pourrait me renseigner, pourriez-vous me donner deux jours.
• Dis-moi tu, nous sommes très proches maintenant, je sens que tu ne refuseras pas une petite semaine à Megève dans un hôtel cinq étoiles qui m’appartient et qui est au pied des pistes.
Si avant nous essayons le fauteuil qui va me servir jusqu’à ce que je sois remplacé dans mes fonctions, ici je suis un travailleur temporaire.

Il fait pivoter son fauteuil ministre comme j’ai déjà entendu dire et ouvre sa braguette.
Je dois lui faire de l’effet, il bande et lorsque je m’agenouille pour le prendre dans la bouche, je n’ai aucune difficulté.

• Fait-là descendre profondément dans ta gorge, Pierre ton mentor ne t’a-t-il pas appris à faire des gorges profondes ?

Je me recule en profitant pour respirer.

• Non.
• Fait descendre ma verge presque entièrement, remonte, respire et redescend, gagne quelques centimètres et recommence, chaque fois tu vas plus profondément, tu sens, je passe ta glotte.

Voilà, tes lèvres touchent mes roubignoles.

Je recrache cette verge étant à la limite de vomir, mais quand il m’appuie sur la tête, elle rentre sans aucun problème.

• Voilà, tu sais faire des gorges profondes.

Quand je quitte le ministère, je me trouve affublé d’un troisième homme qui veut que je devienne sa régulière comme le sont Pierre et Joseph, même si ce dernier a des gouts plutôt limités, les fellations lui suffisant.

Fidèle a ma promesse, j’appelle grand-mère Louise, elle me confirme que mère a bien eu un moment d’égarement avec celui qui vient de la nommer à ses côtés, ils ont disparu un mois alors que le reste de la délégation rentrait en France.
Ils ont refusé de dire où ils étaient, les choses se sont calmées, le temps a fait son œuvre, père a pardonné et la naissance d’une petite Jessika chez le couple de fonctionnaires a fait le reste.
Je lui demande d’aller voir si Mariane était chez son père, elle me quitte, reprend le téléphone, les volets sont clos, l’oiseau s'est envolé.

• Jessika, tu es invité à un repas par le président avec tes parents, j’y serrais aussi avec ma femme, c’est une soirée pour souder l'équipe gouvernementale.
• Je vais devoir m’habiller, au fait, je pars pour Megève dans un mois, on m’a offert un séjour de ski.
• Je vois que Paul tient à ton petit cul, aucun problème, éclate-toi, je pars moi-même à Courchevel avec Marie, le docteur dit que l’air pur lui fera du bien pour son moral.

Je suis seule, le lendemain quand on sonne, un mignon petit commissionnaire me remet un paquet, je l’aurais bien invité à entrer, je suis nue, il doit être puceau, car il détalle comme s’il avait vu un monstre.
C’est Paul, il sait où j’habite, quelle conne, il est ministre de l’Intérieur, il lui a été facile de me trouver, j’éclate le paquet, une lettre une carte bancaire avec ses codes.

• Jessika, 10 000 € sur cette carte, tu peux t’acheter les fringues que tu veux afin de me faire honneur, je te tiens au courant pour le départ à moins que tu passes voir si mon fauteuil est toujours si profond.

Pour la carte, ma banque la rechargera régulièrement, mais soit tout de même raisonnable, il serait mal venu que, je sois dans le rouge bancaire surtout au poste que j'occupe.

Je profite de la carte pour acheter ma nouvelle robe du soir et la voiture qui vient me chercher m’amène pour la soirée, moment délicat, père, mère, l’amant de mère, Pierre, sa femme et moi sa maîtresse attitrée, sans oublier Paul veuf, autre amant, soirée un peu compliquée surtout pour moi qui suis à la croisée de toutes ces personnes.

• Paul, je te présente Jessika, ma fille, elle est attachée parlementaire de Joseph, j’ai été choqué quand j’ai appris qu’elle arrêtait ses études pour prendre un poste auprès de lui.
• Mère, je vais reprendre à la prochaine rentrée en cours du soir, mon travail me passionne, je rends service à bien des personnes.

J’ignore si elle sait que c’est avec mon cul qu’elle a pu obtenir son poste et que nous pouvons être ensemble ce soir.
Quant à père, il ne m’adresse même pas la parole.
Le repas vient de se terminer, tous sont dans le grand salon à boire le café.

• Monsieur le Président, j’ignore si je reviendrais un jour dans ce palais, pourriez-vous le faire visiter.
• Oui, jeune fille, vous ressemblez à votre mère quand elle avait votre âge.

Je suis perfide.

• Pourtant, on me dit souvent que je ressemble à père.
• Sans nul doute, il y a toujours quelque chose de l’autre parent.
• Oui, mon menton, j’ai celui de père.

Je vois qu’il passe sa main sur son propre menton, est-ce un indice, dans le mouvement, je le vois regarder père qui discute avec Pierre ?

• Ici, c’est la salle où se tient le conseil des ministres.

Sur cette grande table, maman a-t-elle reprit les bonnes habitudes de sa jeunesse et se fait-elle baiser cocufiant père, les seins posés sur cette table immense.

• Monsieur, j’aimerais voir vos appartements, c’est plus intéressant que le reste du palais que j’ai déjà vu à la télé.

C’est un test, qui dit chambre, dit lit, s’il essaye de me sauter, ça l’écartera de mes recherches, mais j’ai aussi un autre but pour visiter cet endroit.

• Joli cadre, Monsieur, j’ai une petite envie, pouvez-vous m’indiquer la salle de bains…

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